Un membre témoigne spontanément : « Pascal, s’il n’était pas là, comment ferait-on ? Il est fantastique : il facilite, nettoie, répare tout, et en plus il met à l’aise ! »
Au caddy master en effet, on ne fait pas qu’y trouver son sac. C’est un peu comme au bistrot. On y discute, on y rit, certains viennent y boire leur café, demander un petit service, sans oublier ceux qui ont oublié le badge de la barrière… Quoi qu’il en soit, auprès de Pascal Avignon, on trouve toujours de la bonne humeur !
« Avant d’arriver à Saint Germain en 2003, je tenais un commerce, un bureau de tabac-presse à Poissy. Ici, j’y vois beaucoup de similitudes, je connais tout le monde, je prends des nouvelles, il y a de la complicité avec la plupart des membres, de la considération. Je suis dans mon élément et très heureux.
J’aime le côté social de l’esprit club, le contact humain ; je sais que créer du dialogue fidélise, car tout le monde a besoin d’harmonie. Et comme les membres sont tous un peu nos patrons, alors avec mon binôme Denis, on fait tout pour bien les accueillir.
Mon travail nécessite beaucoup de mémoire visuelle, pour savoir qui arrive, dans quelle voiture, et quel chariot sortir. J’aime également bricoler, réparer ce que je peux, ça rend service aux membres alors je ne dis jamais non. Mais le fait d’habiter sur place, ça, ça vaut tout l’or du monde ! Du coup j’ai toujours un œil sur la sécurité ; ma maison c’est un peu le poste de gardiennage du club. Quand je suis dans mon jardin, rien qu’au son des voitures je sais qui rentre et qui sort !
Enfin, j’ai l’avantage de connaître toutes les générations, des grands-parents aux petits enfants. Je vois les enfants grandir, les adolescents qui disparaissent pour le Bac et se métamorphosent en adultes, les petits trop mignons avec qui je veille aux règles de politesse. Et quand c’est nécessaire, avec de l’humour et du dialogue je fais passer les messages (« On dit bonjour ! »). »
NB : Pascal s’est mis au golf en 2003, est 11 d’index.